Contact :  Pauline BRUNET            mail : contact@burkina-mas.fr

Tél  05 56 58 21 84   l

   ✿ La situation au Burkina Faso. Les attaques terroristes ont engendré des milliers de déplacés internes. Comme d’autres régions, Guiè  reçoit  ces déplacés victimes du terrorisme, démunis, sans nourriture.

Adhérer, c’est déjà agir. Chaque € est utilisé. Frais de fonctionnement moins de 4 % les bénévoles prenant en charge leurs frais.

Décembre 2021    Au Sahel, notre partenaire Terre Verte  a créé 4  fermes pilote regroupant les agriculteurs.

       Remembrement agricole ou Périmètre pouur la restauration des sols, la création de bocages...

  Une ferme pilote intègre les paysans, les villages et crée des périmètres 

    bocagers en copropriété, et des parcelles individuelles et communes.

A la ferme pilote de GUIE, santé, éducation, petite enfance : 

L’école primaire KELYAM 

Les écoles de formation du Bocage et des assistantes maternelles

–  les programmes d’éducation et de santé pouponnière, dispensaire, maternité, pharmacie.  

FILM 'le périmètre de Kamsoe"  sortie en salle le 27 octobre. Bientôt à l'UTOPIA à Bordeaux, nous espérons aussi à PAUILLAC.  FILM  tourné chez notre partenaire TERRE VERTE.

Albert Einstein ’Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui regardent sans rien faire..

 LE PÉRIMÈTRE  DE KAMSÉ   un film de Olivier Zuchuat 

Une production Prince Film SA & Andolfi    France / Suisse 

    Film tourné chez  une ONG locale, Terre Verte, qui a aussi pour  activité la création de  fermes, en promulguant des méthodes de revitalisation des  terres

Le périmètre, ou remaniement parcellaire. Ce sont les villageois qui décident de consacrer une partie de leur terre à ces projets. La terre pour les paysans est quelque chose de vital et de sacré. Redistribuer des terres n’est pas un acte anodin, même transformées en désert.

Dans la fournaise, le temps semble souvent à l’arrêt, figé dans l’attente de la prochaine pluie et des récoltes.. Dans le Nord du Burkina, la désertification grignote les terres, l’immigration vide les villages.    A Kamsé, villageoises et  villageois restés sur place se sont lancés dans un chantier pharaonique, creuser dans la fournaise, à la pelle et à la pioche, un  réseau de digues et de mares, puis planter des milliers d’arbres pour reverdir et fertiliser les zones conquises par le désert. Et dans la chaleur aveuglante, une digue se dresse, un lieu se transforme.

A l’envers des exodes migratoires. La désertification progresse à pas lents et se mesure surtout par rapport à ce qui n’est plus. Comment alors filmer  ce qui a disparu ? A Kamsé subsistent surtout les femmes, les enfants et les personnes âgées. Comment filmer ce collectif vulnérable et discret ? Comment capter cet état de suspension, mais toujours prégnant de jours meilleurs auxquels les habitants travaillent  en restaurant leurs terres ? 

Notre époque est marquée par de nombreux exodes migratoires depuis les pays africains. Simultanément,  la désertion des habitants des zones rurales vers les mégapoles  urbaines est un phénomène massif aux conséquences  souvent dramatiques. Pour autant, une grande partie de la population reste dans les villages, se retrouvant ainsi à la fois actrice et victime de la désertification.   

Ce film est consacré à celles et ceux qui restent, et décident de faire front.

Un film pourtant à la frontière puisque sahel signifie « bord », « rivage » en arabe… Au bord du désert…